Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jean luc romero - Page 50

  • Lyon, ville engagée contre le sida !

    Ce 1er décembre au matin, je serai à Lyon qui reçoit le label, ville engagée contre le sida.  
    Après une rencontre au centre LGBTI de Lyon, le label sera remis à la municipalité en fin de matinée.

    VilleEngagéeSida.JPG

  • Invité de Radio Pluriel à 20h00 !

    radio pluriel.jpg

  • Continuons à diffuser cette campagne de prévention sida ! Ne pas le faire serait de la non assistance à personnes en danger !

    Sida1.JPG

    Sida2.JPG

    Sida3.JPG

    Sida4.JPG

  • Retrouvez-moi pour #LeTalkDuLundi à 12h sur Périscope

    Comme tous les lundis, retrouvez-moi sur Périscope et Twitter à 12h00 pour #LeTalkDuLundi sur la fin de vie et l'ADMD. A tout à l'heure !

    LeTalkDuLundi.JPG

  • Campagne prévention sida : "On vit une époque formidable !" (tribune pour Marianne.fr)

    Quelle formidable image que les politiques peuvent se donner quelques fois ! Une image d’ouverture aux autres, de progrès, de promotion du vivre-ensemble. C’est fou. C’est vrai que censurer une campagne d’information sur le VIH/sida destinée aux HSH (hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes), c’est tellement jubilatoire…
    Déplorable, ahurissant, dramatique, tout a été dit ces derniers jours et pourtant ces énergumènes continuent à se draper dans ce manteau confortable de la défense de la famille (Laquelle ? Homoparentale ? Monoparentale ?).
    Je vais vous dire ce que j’en pense, de manière fort objective :
    Ces élus sont coupables de non-assistance à personnes en danger. Quand on refuse volontairement d’informer une partie de ses concitoyens sur les outils mis à leur disposition pour éviter de s’infecter au VIH alors qu’on les sait exposer, c’est de non-assistance à personnes en danger. Pour rappel, les HSH, ce sont plus de 40% des nouvelles infectons à VIH chaque année.
    Ces élus sont complètement inconscients des réalités. Quand on connait la surreprésentation des tentatives de suicide chez les jeunes gays (de quatre à sept fois plus que pour un jeune hétérosexuel), on peut se poser la question de l’impact de ces décisions pour un jeune gay qui voit son orientation sexuelle considérée comme une déviance et une menace pour les enfants. Tellement facile de se construire et de bien vivre après ça ….
    Ah mais pardon, j’exagère, ce n’est pas de l’homophobie ! Suis-je bête… ces élus auraient agi de la sorte pour tout autre cause, avec la même vigueur et la même rapidité. Je ne sais pour vous mais moi, quand je me balade dans la rue, j’en vois plein des photos de femmes en lingerie, des photos suggestives, des images sexistes, à la limite dégradante. Qui s’en insurge ? Otez-moi d’un doute ... Je crois n’avoir que rarement entendu le maire d’Aulnay-sous-Bois faire la « une » des médias demandant le retrait de publicités sexistes sur le territoire communal … Mais c’est sûr que ça, cela n’a pas d’impact sur les enfants et la construction de leurs représentations !
    Aujourd’hui, très sincèrement, je suis inquiet et en colère. Je suis élu de la région Île-de-France, c’est-à-dire élu d’une région où plus de 40% des nouvelles découvertes de séropositivité sont réalisées. En juin dernier, la région a décidé de lancer un ambitieux plan « Pour une Île-de-France sans sida » et je me demande, comment, au vue de l’absence de condamnation officielle, nous allons pouvoir travailler ensemble ? Ce type de campagne, centré sur les populations clés, les HSH, les migrants, il en faut beaucoup et pour ne pas que le plan « Pour une Île-de-France sans sida » soit un flop retentissant, il faut que la région se range dans le camp de celles et ceux qui luttent contre le sida, pas de celles et ceux qui, par un moralisme et un dogmatisme affligeant et dangereux, font tout pour freiner ces efforts.
    Alors que la science nous a prouvé que l’on pouvait réellement en finir avec le sida, je suis également inquiet et en colère de l’attitude de certains politiques. Regardez le débat sur les primaires à droite. Je ne demande pas qu’on passe une heure sur le VIH/sida mais quand même ! C’est un silence assourdissant qu’on peut constater sur cette question. Elles sont où les prises de position volontariste ? Il est où l’engagement pour mener la France vers le chemin d’un contrôle de l’épidémie ? Elles sont où les condamnations claires et sans ambages des élus ayant censurés une campagne de prévention ? Il est où le courage politique ? François Fillon assume le coté brutal de sa campagne, grand bien lui fasse, mais il est où l’engagement dans la lutte contre le sida et vers la fin du sida. A un moment, et rapidement, il faudra choisir son camp.

    marianne,jean luc romero,sida

  • Réunion publique ADMD à Annecy à 10h00

    Annecy.png

  • Video Non Stop Politique sur SurVivant


    Jean-Luc Romero - Survivant : Pour un réveil... par non-stop-politique

  • Extrait de mon intervention sur el tourisme à la région Ile-de-France

    InterTourisme.JPG

  • Session du conseil régional d'Ile-de-France

    Durant deux jours se déroule la session du conseil régional d'Ile-de-France présidé par Valérie Pécresse. Je siège désormais dans l'opposition et ce n'est pas toujours une tâche aisée... Bientôt un an que nous avons perdu les élections en Ile-de-France...

    Sessionjuillet2016B.JPG

  • Commission permanente de la région Ile-de-France

    Ce matin, je participerai à la commission permanente de la région Ile-de-France qui sera présidée par Valérie Pécresse.
    La commission permanente permet d'individualiser notamment les subventions qui sont accordées par la région capitale.

    BannièreTwitterIdfsession.JPG

  • « Avec SurVivant », Construire ma vie alors que l’on me promettait la mort ! (Tribune dans le Huffington Post - Blogs)

     

    Revenir en arrière. Regarder derrière soi. S’interroger sur ce que l’on a été, ce que l’on voulait être, sur ce que l’on est. Répondre sincèrement ou tenter de le faire le plus possible. S’étonner d’être en vie alors que l’on me - que l’on nous - promettait la mort. Vivre dans l’urgence. S’imaginer le futur alors que l’on a eu une épée de Damoclès au-dessus de sa tête depuis près de 30 ans et que cette épée est toujours là, un compagnon du quotidien bien encombrant et que l’on essaie de dompter.
    Voilà ce que j’ai pu ressentir ou penser tout au long de l’écriture de mon 10e livre « SurVivant ! Mes 30 ans avec le sida ». Cela m’a replongé dans mes souvenirs, mes souvenirs d’amoureux, d’élu, de militant. De personne séropositive.
    Dans ce livre préfacée par mon amie Anne Hidalgo, j’ai voulu témoigner de la vie avec le VIH, de sa réalité, de ses difficultés. Si, bien sûr, je ne prétends en rien être représentatif des personnes séropositives, je me sens légitime à parler, à écrire, et surtout à dire ce qu’a été ma vie avec le VIH, ce qu’a été ma vie de militant également. Je vous rassure tout de suite, si je conjugue les verbes au passé, ce ne sont en rien des mémoires, je compte bien profiter de la vie et militer pour tant de causes encore très longtemps !
    Ce livre, s’il évoque le passé, est pour moi, un livre délibérément tourné vers l’avenir. Je le dis souvent : le passé peut indéniablement être un guide pour le futur ! J’espère et je souhaite que ce livre ait un impact sur un thème qui m’est si cher : la lutte contre l’invisibilité du VIH/sida.
    Quand j’ai voulu dire publiquement, il y a maintenant 14 ans, ma séropositivité, c’était pour moi mais aussi et forcément pour les autres, pour leur dire, d’une certaine manière que, en tant que personne séropositive, nous avions le droit de vivre normalement, et non pas de nous terrer. De travailler et surtout d’aimer et d’être aimés.
    C’est comme cela que j’ai pu transformer un combat individuel en un combat collectif et je crois que plus jamais, nous avons le droit, nous devons avoir le droit de dire de notre séropositivité dans une société où cette annonce ne serait pas un seul signe de militantisme ou, pire, susceptible de susciter l’opprobre. Oui, nous avons le droit à la visibilité !
    J’ai voulu, avec « SurVivant », donner un peu d’espoir aux personnes infectées au VIH/sida, aux malades. Je sais fort bien que l’aspect moral est primordial quand on vit avec une maladie chronique et l’espoir fait partie de la qualité de vie. Cet espoir, il faut le créer, il faut aussi l’entretenir !
    Enfin, avec « SurVivant », j’ai voulu dénoncer une parole politique de plus en plus pauvre sur le sujet. Souvent absente même alors que l’on sait que le sida se soigne aussi par la politique. Bien sûr des avancées majeures dans la lutte contre le VIH/sida ont vu le jour ces derniers temps avec notamment la création des CeGIDD et des missions élargies à une approche globale de santé sexuelle ainsi qu’en matière de prévention du VIH (PrEP et TasP) et de dépistage via les TROD et les autotests. Pour autant personne ne pourra m’objecter que le politique s’est désengagé de ce sujet en n’en faisant plus un sujet sociétal majeur. Et pourtant jamais autant de personnes n’ont vécu avec le VIH/sida que ce soit en France - oui chez nous – ou bien sûr dans le monde !
    Voilà pourquoi j’ai écrit ce livre. Pour tout ça. Pour nos 40 millions de morts. Pour les 3700 qui continuent à mourir chaque jour dans l’indifférence glacée de bien des dirigeants. « SurVivant », c’est un livre personnel autant que collectif. C’est l’histoire de ce virus, des hommes et des femmes infectés mais aussi de la lâcheté de bien des responsables.
    C’est un livre qui, j’espère, à sa mesure, servira à rappeler que derrière le mot sida, il y a des hommes, des femmes, des enfants. Ce livre ne m’appartient déjà plus.

    couverture jpeg SurVivant 2.jpg

  • #LeTalkDuLundi sur Périscope à 12h00 sur la fin de vie

    Comme tous les lundis, je vous retrouve en direct sur Périscope à 12h00 pour vous parler des questions de fin de vie et de l'ADMD.
    Il sera notamment question de la bonne nouvelle de la semaine : la relaxe tant attendue de Jean Mercier par la Cour d'appel de Lyon, jeudi dernier.

    IMG_8004.JPG

  • J-3 : avant la sortie de "SurVivant - mes 30 ans avec le sida"

    J 3 pour lundi.png

  • Célébration de mariages à Paris 12

    Depuis hier, je suis de permanence pour une semaine à la mairie du 12ème arrondissement, ce qui implique que je célèbre les mariages notamment ce samedi.
    C'est toujours pour moi un grand moment car c'est une des plus belles missions de l'élu...

    Mariages du 2 Mai2014B.pdf.JPG

  • Retrouvez-moi pour #LeTalkDuLundi sur Périscope/Twitter à 12h00

    Comme tous les lundis, retrouvez-moi pour #LeTalkDuLundi à 12h00 sur Périscope et Twitter.
    A deux jours du 2 novembre, neuvième journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité, il s'agit d'appeler à la mobilisation des militants de l'Ultime Liberté.

    LeTalkDuLundi.JPG

  • Hommage à Benoîte Groult

    Ce mercredi soir, à l'initiative des éditions Grasset mais aussi de Blandine et Lison de Caunes, aura lieu un hommage à Benoîte Groult.
    C'est avec beaucoup d'émotion que je me rendrai à cette cérémonie pour rendre hommage à cette immense femme de lettre mais aussi d'engagements. Tout le monde connaissait ses engagements féministes mais moins son combat de longue date pour le droit de mourir dans la dignité.
    C'était une militante infatigable qui nous manque vraiment beaucoup !

  • Réunion publique ADMD à Laval à 14h00

    Je vous attends nombreuses et nombreux ce samedi pour la réunion publique ADMD de Laval !

    Laval.JPG

  • Invité de ITélé à 20h40

    Alors que se déroule ce samedi l'Existrans, manifestation en faveur des droits des trans et intersexes, et qu'aura lieu demain la terrible Manif Pour Tous, je suis l'invité de Itélé ce samedi à 20h40.

    itélé,manif pour tous,jean luc romero

     

  • Ma tribune sur les salles de consommation à moindre risque (parue dans Le Huffington Post)

    Salle de consommation à moindre risque

    ou la nécessité du pragmatisme en santé publique

    Par Jean-Luc Romero-Michel, président d’Elus Locaux Contre le Sida

     

    Nous y sommes, enfin. Nous sommes à la fin d’une grande hystérie qui a vu, in fine, triompher la santé publique en lieu et place des postures politiciennes matinées de peur, d’ignorance volontaire et d’intérêts. Oui, ça y est, la salle de consommation à moindre risque ouvre ! C’est là le résultat d’une longue lutte menée par des acteurs que je veux féliciter très sincèrement et chaleureusement au premier rang desquels Anne Hidalgo, maire de Paris et Rémi Féraud, maire du 10e arrondissement de Paris ainsi que l’ensemble des associations de réduction des risques qui ont su porter le projet, sans l’imposer, mais toujours avec ce souci d’ouverture et de discussion, en répondant aux questionnements, en tenant bon malgré les coups et les découragements dus aux reculades diverses et variées.

     

    Militant de longue date de la réduction des risques en direction des usagers de drogues, est-ce que je suis satisfait de cette ouverture ? Oui. Oui, à moitié.

     

    D’abord, commençons par le côté positif des choses, le « oui » : un dispositif innovant de santé publique a pu voir le jour en France sur la base de très nombreuses publications scientifiques, françaises et internationales, et de retours d’expérience de nos voisins européens et ça, c’est tant mieux ! Nous les connaissons bien, tous les avantages de ce type de structure, aussi bien en termes de santé individuelle des usagers que d’avantages collectifs liés à la sécurité et à la salubrité publique. Nul besoin de revenir dessus.

    Je pense aussi que la démarche dans laquelle a été monté ce dispositif doit être soulignée et être un réel motif de satisfaction : un esprit d’ouverture, de discussion et de transparence. A ce propos, à chaque fois que je vais à la rencontre de directeurs de dispositifs de réduction des risques à l’étranger, et notamment à Genève, l’ensemble de ces personnes me parlent du dialogue comme condition sine qua non de la bonne inscription du dispositif dans le tissu local. J’en suis persuadé, ce dialogue, il doit se faire au départ, mais surtout, il doit perdurer.

     

    Ensuite, le « oui à moitié » : cette salle de consommation à moindre risque ne constitue pas une solution miracle mais un outil supplémentaire dans le panel global des outils de réduction des risques. Ce n’est pas avec une seule salle que l’on va régler le problème de la contamination au VHC des usagers de drogues ! Il ne faudrait pas que, en en ayant tellement parlé, on attende de cette structure des résultats auxquels elle ne peut répondre seule. Autre point : cette salle de consommation à moindre risque, au-delà du fait qu’elle en appelle d’autres en France, ne doit pas signer la fin de l’innovation en matière de réduction des risques. Cette politique a toujours fait de ce sens de l’innovation son fondement et son moteur et je sais bien que les acteurs de la RdR sauront ne pas l’oublier. J’ai un exemple précis en tête d’un dispositif mis en œuvre notamment en Suisse, qui fonctionne particulièrement bien et donne d’excellents résultats : la délivrance d'héroïne sous contrôle médical. C’est là, je crois, une des pistes sérieuses que l’on doit étudier dans un avenir proche. En somme, ce n’est pas tant un « oui, à moitié » que je veux exprimer mais plutôt un « oui, attention ! ».

     

    La leçon de tout ça : on manque de pragmatisme dès que l’on veut innover, en France, en santé publique. C’est bel et bien à nos décideurs d’adopter cette culture du pragmatisme souvent éloignée, et bien peu compatible il faut le dire, des contingences politiciennes. Bien évidemment je doute fort que la tenue des élections présidentielles et législatives permette ce type de démarche efficace mais que voulez-vous, l’espoir fait vivre ! Mais je le dis avec cette fois-ci plus de sérieux : on ne peut considérer la santé publique que sous l’angle humain et pragmatique. C’est la seule façon d’avancer convenablement, étape par étape.

     

    Cela fait plus 20 ans que je fais, chaque année, une sorte de tour de France contre le sida, allant dans les villes, de toute taille, pour rencontrer élus, associations et autres acteurs de la lutte contre le sida. Ce que je retiens de toutes ces années, c’est que le moralisme et le dogmatisme sont des freins terribles au(x) progrès. Alors si, bien sûr, il faut s’attacher à discuter, notamment des peurs et des craintes, c’est le sens du concret, le volontarisme qui fait et fera avancer notre société. C’est la pensée que j’ai, à chaque fois, en terminant une journée de déplacement lors ces tours de France contre le sida.

     

    Ce pragmatisme a été à l’œuvre pour ce projet de salle de consommation à moindre risque, espérons qu’il le soit pour tous les projets innovants en santé, au service des personnes, au plus près des besoins de toutes et tous, sans exception.

     

  • Mon Edito au Journal de l'ADMD

    Ce samedi 10 septembre, devant près de 500 personnes réunies au Palais des Congrès de Juan-les-Pins, dans une parfaite organisation due à Jacques Desaunay, notre délégué pour les Alpes-Maritimes et Monaco, et à son équipe de bénévoles, et devant un aréopage de personnalités (Marie-Christine Barrault, Julien Cendres, Noëlle Châtelet, Pauline Delpech, Irène Frain, Brigitte Lahaie, Véronique Massonneau et Gilles Vervisch) qui portent fièrement les valeurs de notre association, j’ai donné le coup d’envoi d’une année de mobilisation, qui s’achèvera, nous l’espérons tous, avec l’élection d’un président de la République et de députés qui défendront, non pas les revendications de l’ADMD, mais le droit à choisir les conditions de notre propre fin de vie puisqu’il s’agit d’une simple question de liberté individuelle.
    Le chemin sera difficile et chacun des 68.000 adhérents devra être le porte-parole de notre association. Chacun d’eux devra répondre présent aux sollicitations des délégués afin de participer aux réunions, manifester le 2 novembre, revendiquer devant les permanences électorales, écrire aux candidats.
    L’autre jour, à Juan-les-Pins, une très ancienne adhérente me faisait remarquer que lorsqu’elle s’était battue pour le droit à l’avortement, elle était dans la rue. Pas chez elle. Aujourd’hui encore, fidèle parmi les fidèles, elle se mobilise malgré son grand âge et elle était encore là lors du rassemblement de Juan-les-Pins, sous un soleil de plomb. Le soir même, elle me disait, amère : 500 personnes dans la salle climatisée du Palais des Congrès, mais seulement 150 personnes pour manifester à 13h30, dans la rue. Pourquoi ?
    Oui, pourquoi ?
    Revendiquons ce droit à l’ultime liberté qui fera de notre fin de vie véritablement la nôtre. Restons immobiles, et ce seront d’autres que nous qui choisiront pour nous. Comme aujourd'hui...

    admd,jean luc romero,euthanasie